Autonomie

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 Ressources locales

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Texto

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  • Cours de MTC
    MTC-1ere année
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 Encyclopédies pratiques

 Permaculture en milieu aride

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 Ressources externes

Base de données à compulser

Vidéos

Permaculture

Documents de la caravane des alternatives

 Eau

Potabilité/Purification

Irrigation

Douche

https://wikifab.org/wiki/Showerloop_:_Douche_infinie_%C3%A9cologique

 Agriculture

Plantes Bio-indicatrices

 Elevage

(voir tout ça sur oldu.ispeed.org, les liens sont à réactualiser. Beaucoup se trouvent sur fichier-pdf.fr)

L’INCUBATION DES ŒUFS : http://oldu.ispeed.org/docs/index.php

ÉLEVAGE DE VACHES : http://oldu.ispeed.org/docs/index.php

ÉLEVAGE DE POULES : http://oldu.ispeed.org/docs/index.php

ÉLEVAGE DE PORCS : http://oldu.ispeed.org/docs/index.php

ÉLEVAGE DE LAPINS : http://oldu.ispeed.org/docs/index.php

ÉLEVAGE DE CHÈVRES : http://oldu.ispeed.org/docs/index.php

ÉLEVAGE DE CANARDS : https://www.fichier-pdf.fr/2015/05/30/agrodok-levage-de-canards/agrodok-levage-de-canards.pdf

ÉLEVAGE D’ESCARGOTS : http://oldu.ispeed.org/docs/index.php

 Pisciculture

 Alimentation

Stockage et conservation des aliments

Cuisine

Résilience alimentaire

 Plantes médicinales

 Forêt comestible

  • Reconnaître les plantes toxiques

Plantes toxiques communes

Carotte sauvage et ciguë :

- La ciguë dégage une odeur caractéristique d’urine de souris lorsqu’on froisse ses feuilles. - Elle possède des tiges glabres, contrairement à la carotte sauvage qui est "velue". -* Les feuilles de la ciguë sont divisées trois fois alors que la carotte porte des feuilles divisées de nombreuses fois.

Ail des ours, colchique, muguet

Ail des ours

- L’ail des ours à une forme de lance - Il a un pétiole, (une “tige” entre le sol et la feuille) - Il sent l’ail - Il est brillant dessus et matte dessous -* La feuille est molle et a le toucher du caoutchouc

Muguet

- Sa face supérieure est matte et sa face inférieure est brillante, alors que c’est l’inverse pour l’ail des ours. - Les feuilles sont rigides. - Souvent 2 feuilles ensemble. - Les jeunes sont enroulées sur elle-même.

Colchique

- Il a des feuilles plus épaisses et rigides - Leur bout est arrondi et n’ont pas de pétiole (tige) - Elles partent directement du sol - Il pousse en milieu ouvert

Belladonne

La belladone, Atropa bella-donna, est une plante herbacée mesurant 50cm à 1.5m de hauteur commune dans les bois bois frais des régions calcaires. Ses fleurs brun pourpre donnent naissance à une baie noire luisante très toxique. L’ingestion de quelques baies peut provoquer de graves troubles pouvant conduire à la mort. Son fruit peut être confondu d’autres fruits comestibles comme les cerises, les merises, les prunelles et myrtilles. Mais rappelez-vous, les trois premières proviennent d’un arbre alors que la belladone est une plante.

Sureau et sureau hièble

Le sureau hièble, Sambucus ebulus, est une plante herbacée de 1 à 2m de hauteur qui pousse en groupe dans les talus frais, les haies et les broussailles. Ses fleurs en ombelles donnent des fruits noirs et luisants qui ressemblent à ceux du sureau noir, celui que vous connaissez probablement et qui est utilisé pour confectionner d’excellents sirops. Les baies du sureau hièble sont purgatives et vomitives et leur goût désagréable. Pour ne pas les confondre, observez-les bien ! Le sureau hièble est une plante dont les tiges ne sont pas faites de bois, alors que le sureau noir est un arbuste boisé (ligneux).

Source https://cueilleurs-sauvages.ch/12-plantes-toxiques/

 Botanique

 Autoconstruction

Travail du bois

Energie/Chauffage

 Abeilles

https://hackmd.io/pUoO-WxJQ-m6dYuwNWKmdw#

Posséder une ruche

Posséder une ruche

Pourquoi ?

Posséder une ruche implique beaucoup de choses dont il faut tenir compte. Tout le monde n’a pas envie d’avoir des abeilles dans son jardin, surtout en prenant en compte les risques d’allergies aux piqûres. Il faut s’en occuper régulièrement, c’est-à-dire qu’au moins une fois par semaine il vous faudra aller voir vos petites butineuses, cela permet de les habituer à votre présence et de vérifier que tout va bien.

Malgré les contraintesque cela impose, le jeu en vaut la chandelle ! En effet, même si vous ne récolterez pas forcément beaucoup de miel dès la première année, que vous perdez des essaims, faire vivre des abeilles est déja beaucoup.

La population d’abeille en France est en grand déclin depuis une dizaine d’années, à cause des pesticides mais également du redoutable [frelon asiatique](https://frelon-asiatique.frama.site/), pourtant les abeilles, en butinant les fleurs et en emportant du pollen sur leurs pattes, occupent une place centrale dans l’agriculture et le renouvellement des plantes.

Comment ?

Je vous conseil de commencer par quelques ruches, au minimum trois. Cela vous permettra, si jamais vous constatez la perte d’un des essaims, de comprendre pourquoi celui-ci n’a pas passé l’hiver, pourquoi le second produit plus de miel que les autres, etc.

  1. Quel type de ruche ?

Bien que les ruches de type warré pourraient vous séduire puisque les cadres sont entièrement construit par les abeilles, cela implique un potentiel épuisement des ouvrières et une plus grande lenteur à la construction de la ruche la première année, rendant l’hiver plus difficile à supporter pour l’essaim.

Pour ces raisons, je vous conseil de partir sur une ruche de type Dadant, voir de construire la votre.

  1. Où les installer ?

Si vous avez un grand jardin, vous pouvez peut-être les mettre directement à votre domicile, le plus éloigné possible de la route et des chemins de passage ;)

Dans l’idéal il faudrait que vous ayez un terrain plus ou moins isolé des autres habitations, proche de chez vous, où vous vous rendez régulièrement.

Surélevez les ruches pour qu’elles ne soient pas en proie aux petits prédateurs fouineurs et à une forte humidité pouvant faire pourrir le bois.

Pour posséder une ruche vérifiez la réglementation dans votre région quand à la distance minimale avec la voie publique par exemple et assurez-vous de déclarer celle-ci ([pour plus d’informations je vous renvoi à la page des services publics à ce sujet](https://www.service-public.fr/professionnels-entreprises/vosdroits/F24392)).

  1. Matériel

Un peu de matériel vous sera nécéssaire. Au minimum ayez une combinaison intégrale blanche, lors d’intervention sur la ruche vous devez en être vétu de pieds en cape.

Un enfumoir est conseillé, il permet de faire croire aux abeilles à un incendies mais en même temps la fumée brouillera les signaux avec lesquels elles communiquent.

Des panneaux de bois ou des pièces de rechange pour votre ruche sont également indispensable dans le cas où votre ruche subi quelques dégats.

  1. Se procurer le matériel

Vous pouvez trouver des sites proposant la vente du matériel requis en faisant [une simple recherche sur internet](https://www.qwant.com/++cs_INTERRO++client=brz-moz++cs_AMP++q=mat%C3%A9riel+apiculture).

Essayez également de voir autour de chez vous s’il n’y a pas un apiculteur pouvant vous préter ou vous vendre du matériel et des essaims nouveau.

Je vous conseille vraiment de prendre avec un apiculteur, de faire des stages, etc. cela vous permettra d’apprendre plus amplement les fondamentaux de l’apiculture et de profiter d’une plus grande expérience. N’hésitez pas à vous renseignez sur le sujet en lisant des livres dessus.

  1. S’en occuper

Les abeilles sont relativement autonomes, néanmoins il faudra vous en occuper un minimum, ne serait-ce que pour constater leur bonnes conditions, et ceci de façon hebdomadaire. Cela contribura également à les habituer à votre présence.

La première année elle ne produiront qu’à peine une quantité suffisante pour leurs besoins, donc cette année il est peu probable que vous en récolterez. Lorsque vos ruches produiront suffisamment de miel vous pourrez en récupérer.

Pour ce faire, vous devez bien sûr vous couvrir de votre vêtement de protection de la tête aux pieds, comme à chaque intervention. Vous pouvez vous aidez d’un enfumoir pour les calmer.

Vous ouvrez alors votre ruche et repérez un cadre plein de miel (attention à ne pas prendre un cadre emplis de larves !) puis vous le sortez délicatement. Les abeilles présentes dessus vont le quitter petit-à-petit pour rejoindre le reste de la ruche.

Production

Les abeilles produisent pleins de substances différentes, ainsi vous pouvez espérer obtenir :

- Du miel, nectar de fleurs transformé dans le jabot des abeilles grâce à certaines enzymes - De la propolis, résine transformée là aussi par des enzymes, elle est utilisée par les abeilles comme mortier pour colmater, isoler, renforcer les zones défectueuses, protéger l’entrée de la ruche, etc. - De la gelée royale, sécrétion des nourrices pour former une nouvelle reine (forcer la réalisation de celle-ci par les abeilles est plus compliqué) - De la cire, matière première utilisée par les abeilles pour la construction de leurs ruches -* Du pollen, qui entre dans la composition de la gelée royale

Vous pouvez récupérer le miel directement d’un cadre en le pressant très fortement avec les mains, cela ceux convenir si vous n’avez que quelques ruches. Vous pouvez aussi utilisez un extracteur qui vous extraira le miel pour un petit effort mécanique.

N’utilisez PAS de centrifugeuse qui altère les caractéristiques du miel en le faisant tourner à très forte vitesse, impliquant une forte augmentation de temérature.

Enfin, filtrez le miel à votre convenance à l’aide de filtres de plus en plus fin. Cela n’est pas obligatoire si votre miel extrait est relativement "propre".

Risques

Le principale fléau des vos abeilles sera le frelon asiatique (Vespa Velutina) qui cherchent à faire leurs réserves à partir de la fin du mois d’août, début septembre. Il vous causera de très nombreuses pertes, alors faites le maximum pour protégez vos butineuses : poses de pièges, recherche de nids...

Si jamais vous trouvez un nid de frelon asiatique ne vous en approchez pas à moins de 20 mètres et contactez immédiatement les autorités locales chargés de ce travail, les pompiers peuvent également s’en occuper.

L’hiver est le second facteur à prendre en compte. Pour que vos abeilles passent l’hiver il faudra en effet qu’elles ai récoltées assez de miel pour leur fournir une source d’énergie suffisante pour maintenir une chaleur constante dans la rûche, autrement vous pouvez tentez d’isoler un minimum celle-ci.

Si vous constatez que votre ruche n’a pas eu une assez bonne récolte pour avoir suffisamment de miel pour l’hiver, le mieux est de les nourrir avec du miel, pas du sirop ! Et idéalement avec leur propre miel


J’espère que cela vous permettra d’envisager d’installer une ruche chez vous :)

Si vous ne pouvez tout de même pas vous occuper d’une ruche vous même, vous pouvez parrainer une rûche grace à l’initiative [un toît pour les abeilles](https://www.untoitpourlesabeilles.fr/) !

En tant qu’apiculteur amateur vous pouvez également vous faire parrainer vos ruches, ce qui vous permettra d’amortir le coût que cela implique.

 Plans Open-source

 Gestion des risques

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